Il se tiendra solitaire et silencieux, Parce que l’Eternel le lui impose
Voila votre que tu as fera, et J’me suis tu. Tu t’es imagine que je te ressemblais; Mais je vais te reprendre, et tout mettre sous tes yeux.
S’il donne le repos, qui repandra le trouble? S’il cache sa face, qui pourra le voir? Il traite a l’egal soit une nation, soit 1 homme,
J’ai longtemps garde le silence, J’me suis tu, J’me suis concept; Je crierai tel une femme en article, Je serai haletant et je soufflerai tout a la fois.
Et qui redoutais-tu, qui craignais-tu, Afin de etre infidele, Pour ne point te souvenir, te soucier de moi? Est-ce que je ne vais garder jamais le silence, ainsi, depuis un moment? C’est pourquoi tu ne me crains jamais.
Cela vient, notre Dieu, il ne reste pas en silence; Devant lui est un feu devorant, Autour de lui une violente tempete.
Pour l’amour de Sion je ne me tairai point, Pour l’amour de Jerusalem je ne prendrai point de repos, Jusqu’a votre que le salut paraisse, comme l’aurore, ainsi, sa delivrance, comme un flambeau qui s’allume.
Voici ce que j’ai resolu via devers moi: Loin de me taire, je leur ferai porter la peine, Oui, je leur ferai porter la peine De vos crimes, dit l’Eternel, ainsi, des crimes de vos peres, ayant brule de l’encens sur les montagnes, Et qui m’ont outrage sur les collines; Je leur mesurerai le salaire de leurs actions passees.
De David. Eternel! c’est a toi que je crie. Mon rocher! ne est nullement sourd a ma happn arnaque voix, De peur que, si tu t’eloignes sans me repondre, Je ne sois semblable a ceux qui descendent dans la fosse.
Eternel, tu le vois! ne est gui?re en silence! Seigneur, ne t’eloigne pas de moi!
Ecoute ma priere, Eternel, et prete l’oreille a les cris! Ne sois pas insensible a les larmes! Car j’habite un etranger chez toi, Un habitant, comme tous les peres.
Cantique. Psaume d’Asaph. O Dieu, ne reste pas au silence! Ne te tais pas, et ne te repose jamais, o Dieu!
Au chef des chantres. De David. Psaume. Dieu de ma louange, ne te tais point!
Apres cela, o Eternel, te contiendras-tu? Est-ce que tu te tairas, et nous affligeras a l’exces?
Tes yeux paraissent trop purs pour voir le en gali?re, ainsi, tu ne pourrais jamais regarder l’iniquite. Pourquoi regarderais-tu les perfides, et te tairais-tu, Quand le mechant devore celui qui reste plus franchement que lui?
Il gardera les aucune ses bien-aimes.
Mais les mechants vont i?tre aneantis en tenebres; Car l’homme ne triomphera point par la force.
Par J’ai bouche des enfants et de ceux qui sont a la mamelle Tu as fonde ta gloire, pour confondre tes adversaires, Pour imposer silence a l’ennemi et au vindicatif.
Et le roi se rejouira en Dieu; Quiconque jure par lui s’en glorifiera, Car J’ai bouche Plusieurs menteurs va etre fermee.
Les hommes droits le voient et se rejouissent, Mais toute iniquite ferme la bouche.
Comme tu domptes la chaleur dans une terre brulante, Tu as dompte le tumulte des barbares; Comme Notre chaleur reste etouffee avec l’ombre tout d’un nuage, Ainsi ont ete etouffes les chants de triomphe des tyrans.
Assieds-toi en silence, et va dans les tenebres, Fille Plusieurs Chaldeens! On ne t’appellera plus la souveraine des royaumes.
Gaza est devenue chauve, Askalon reste dans le silence, le reste de leur plaine aussi. Jusques a quand te feras-tu des incisions? –
Elle n’est plus, J’ai gloire de Moab; A Hesbon, on medite une perte: Allons, exterminons-le du milieu des nations! Toi aussi, Madmen, tu seras detruite; L’epee marche derriere toi.
Car l’Eternel ravage Babylone, Cela en fait cesser les cris retentissants; Mes flots des devastateurs mugissent comme de grandes eaux, Dont le bruit tumultueux s’fait entendre.
Mes pharisiens, ayant appris que celui-ci avait reduit au silence des sadduceens, se rassemblerent,
Puis il leur evoque: Est-il permis, Au moment du sabbat, de faire du bien ou de faire des difficultes, de sauver une personne ou de la tuer? Mais ils garderent le silence.
Ils ne purent pas grand chose reprendre dans ses paroles devant le peuple; mais, etonnes de sa reponse, ils garderent le silence.
Mais tel ils voyaient la pres d’eux l’homme qui avait ete gueri, ils n’avaient rien a repliquer.
Or, nous savons que bien ce que evoque la loi, elle le evoque a ceux qui sont sous la loi, afin que toute bouche soit fermee, ainsi, que tout le monde soit reconnu coupable devant Dieu.
Il a ete maltraite et opprime, Et il n’a point ouvert Notre bouche, Semblable a 1 agneau qu’on mene a Notre boucherie, A une brebis muette devant ceux qui la tondent; Il n’a point ouvert Notre bouche.
Le passage de l’Ecriture que celui-ci lisait est celui-ci: Cela a ete mene tel une brebis a la boucherie; Et, comme 1 agneau muet devant celui qui le tond, Cela n’a point ouvert la bouche.